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Après avoir abordé de nombreuses questions, voilà que nous nous plongeons pour deux épisodes au cœur de la critique de la modernité, terme désuet de nos jours bien que nombre d’auteurs avaient senti la matrice idéologique qui nous fait, aujourd’hui encore, foncer droit dans le mur. Les contempteurs de la modernité ont été d’une pertinence prophétique, voilà qui donne à réfléchir.
« Si à peu près tous les plus grands penseurs et écrivains n’avaient eu de cesse, au travers des siècles, de fustiger la modernité, on pourrait croire que les critiques qui lui sont adressées ne sont que récriminations de voyous de la pensée ou de mauvais coucheurs. Mais à l’évidence, tel n’est pas le cas. Une ligne de partage permet toutefois, de distinguer, sans les renvoyer dos à dos, ceux qui pensent qu’il faut hâter par la révolution, le déclin de la société industrialo-techno-marchande, de ceux qui considèrent que son pourrissement est déjà si avancé, qu’il « suffit » de se désengager de ses attaches pour accompagner le processus de décomposition. »
Dans cette septième édition de Ligne de Force, Hector Lora vous propose de découvrir ou redécouvrir Karel Kosik, Albert Caraco, Théodore Kaczynski et Jaime Semprun au travers de textes qui sonnent le glas de la fin d’un monde…
Bonne semaine à toutes et tous, sur Terre et sur les ondes.